Audrey-Ève Goulet - Le quatrième mur (2024)
Le quatrième mur puise sa force dans l’essence même du théâtre et de la scène. Peinte dans l’enceinte du mythique Théâtre du Nouveau Monde à Montréal, l’œuvre traduit la tension entre spectacle et réalité, entre illusion et vérité.
Les volutes de rouge profond, d’ocre et de blanc se déploient dans une énergie tourbillonnante, rappelant le mouvement des rideaux qui s’ouvrent, le jeu des lumières sur la scène, ou encore le souffle du texte porté par les comédiens. L’application minutieuse de touches dynamiques crée une vibration presque hypnotique, comme une résonance entre l’espace scénique et le regard du spectateur.
Le titre, emprunté au concept du quatrième mur — cette frontière invisible entre la scène et le public — souligne l’ambiguïté de l’œuvre : sommes-nous témoins ou acteurs de ce qui se joue sous nos yeux ? Audrey-Ève Goulet explore ici l’interaction entre le visible et l’imaginaire, entre l’art et son contexte, réaffirmant sa capacité à traduire en peinture l’essence d’un lieu et d’un moment.
Détails de l'œuvre
Matériaux : Acrylique sur toile
Dimensions : 26" × 48"
Exposition : En fragmentant le temps, Maison Keï Akai, novembre 2024
Lieu de création : Théâtre du Nouveau Monde, Montréal
Rareté : Pièce unique
Signature : Signée par l’artiste
Certificat d’authenticité : Inclus
Encadrement : Non inclus
Le quatrième mur puise sa force dans l’essence même du théâtre et de la scène. Peinte dans l’enceinte du mythique Théâtre du Nouveau Monde à Montréal, l’œuvre traduit la tension entre spectacle et réalité, entre illusion et vérité.
Les volutes de rouge profond, d’ocre et de blanc se déploient dans une énergie tourbillonnante, rappelant le mouvement des rideaux qui s’ouvrent, le jeu des lumières sur la scène, ou encore le souffle du texte porté par les comédiens. L’application minutieuse de touches dynamiques crée une vibration presque hypnotique, comme une résonance entre l’espace scénique et le regard du spectateur.
Le titre, emprunté au concept du quatrième mur — cette frontière invisible entre la scène et le public — souligne l’ambiguïté de l’œuvre : sommes-nous témoins ou acteurs de ce qui se joue sous nos yeux ? Audrey-Ève Goulet explore ici l’interaction entre le visible et l’imaginaire, entre l’art et son contexte, réaffirmant sa capacité à traduire en peinture l’essence d’un lieu et d’un moment.
Détails de l'œuvre
Matériaux : Acrylique sur toile
Dimensions : 26" × 48"
Exposition : En fragmentant le temps, Maison Keï Akai, novembre 2024
Lieu de création : Théâtre du Nouveau Monde, Montréal
Rareté : Pièce unique
Signature : Signée par l’artiste
Certificat d’authenticité : Inclus
Encadrement : Non inclus
Le quatrième mur puise sa force dans l’essence même du théâtre et de la scène. Peinte dans l’enceinte du mythique Théâtre du Nouveau Monde à Montréal, l’œuvre traduit la tension entre spectacle et réalité, entre illusion et vérité.
Les volutes de rouge profond, d’ocre et de blanc se déploient dans une énergie tourbillonnante, rappelant le mouvement des rideaux qui s’ouvrent, le jeu des lumières sur la scène, ou encore le souffle du texte porté par les comédiens. L’application minutieuse de touches dynamiques crée une vibration presque hypnotique, comme une résonance entre l’espace scénique et le regard du spectateur.
Le titre, emprunté au concept du quatrième mur — cette frontière invisible entre la scène et le public — souligne l’ambiguïté de l’œuvre : sommes-nous témoins ou acteurs de ce qui se joue sous nos yeux ? Audrey-Ève Goulet explore ici l’interaction entre le visible et l’imaginaire, entre l’art et son contexte, réaffirmant sa capacité à traduire en peinture l’essence d’un lieu et d’un moment.
Détails de l'œuvre
Matériaux : Acrylique sur toile
Dimensions : 26" × 48"
Exposition : En fragmentant le temps, Maison Keï Akai, novembre 2024
Lieu de création : Théâtre du Nouveau Monde, Montréal
Rareté : Pièce unique
Signature : Signée par l’artiste
Certificat d’authenticité : Inclus
Encadrement : Non inclus